Hommage bis

Un adieu pas triste

Pour vous rassurer après le message d’hier : celle qui s’en est allée, c’est ma voiture : la Nissan Micra a vécu, ma Nissan Micra n’existe plus.

(la disparue)

Née en 1992 (50 000 Francs), elle a connu l’Oise, la Saône-et-Loire et la Nièvre, m’accompagnant dès ma réussite au CAPES. Evidemment, on ne peut pas rester fashion pendant 15 ans, ce n’est guère possible, n’est-ce pas, Lolitruc ? Du coup, le look anguleux, je le sais, c’est passé de mode. Cela dit, qu’est-ce qu’on attend d’une voiture ? Qu’elle roule. La Nissan Micra a beaucoup roulé, et assez bien (j’ai dû soulever le capot dix fois en quinze ans, pour me rendre compte à chaque fois que j’avais doublé le délai normal de la vidange).

Bon, malgré tout, elle avait muté subtilement entre le pot de yaourt et l’étuve, sorte de sauna individuel dont il devenait difficile de s’extraire à mon âge. Et puis comme moi, elle commençait à connaître des soucis d’amortisseur et de pot d’échappement, alors pas de sentimentalisme déplacé.

La Nissan Micra n’est plus, vive….  Vive quoi ?

Surprise à la rentrée !

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"Toutes mes condoléances...Paix à son âme. C'est quand l'enterrement ? Elle sera dans quel cimetière ?   Elodie"

"Pour la prochaine voiture, je dirai une Citröen C3, mais j'ai le droit à l'erreur!

Amicalement, la Rispalette..."