Ça met de bonne humeur !

Du Phosphore dans mon mail

"Bonjour,

je suis en première Littéraire, je prépare le bac de Français Maths Physique et SVT !!! Je vous écris pour vous dire que votre rubrique "Ah ces profs" est extraordinaire oui je sais c'est pas un mail vraiment formidable que je vous écris là mais je pense que quand quelque chose est vraiment bien il faut faire part de ses impressions !! C'est votre rubrique que je lis en premier quand je reçois mon Phosphore, en espérant que j'aurai le plaisir de la retrouver l'année prochaine !!

Bravo. Une fan de "Ah ces profs!", Marion M." 

Alors là, je suis touché. Merci Marion, car ces petites chroniques existent pour être lues (et si possible appréciées !). « Rencontrer » des lecteurs, avoir leur opinion est important pour moi, autant que désacraliser un peu les profs, montrer un peu de recul sur soi, révéler aux élèves l’envers du décor, permettre un rapprochement réciproque dans la bonne humeur, comme j’espère le pratiquer avec mes propres élèves (autant que je peux !). Cette bonne humeur que j’espère aussi apporter aux lecteurs de Phosphore.

J’espère bien poursuivre avec vous ces petits-rendez-vous souriants par magazine interposé.

Merci encore pour votre message.

Jean-Noël Leblanc (le « Prof ») 

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"Je trouve vos chroniques sur Phosphore bien marrantes ^^ j'ai adoré la dernière !   Julie"

"Moi aussi je suis fan de cette rubrique. Je l'ai découverte grâce à une documentaliste de collège rural isolé pour ne pas la citer. Et il parait que lorsque deux documentalistes se rencontrent (eh oui, je suis moi aussi documentaliste!), elles discutent d'auteurs illustres alors je me suis laissée tenter. Je n'en loupe pas un, enfin les choses sont faciles pour moi car je suis contrainte de dépouiller les revues. J'avoue c'est la seule et unique que je m'autorise à dépouiller !!! Cependant un seul regret : que le magazine soit mensuel (ça c'est pour flatter ton ego !)   Angélique."

"Mon NONO,  Ta chronique si délicate et, je dirais, si pleine de tendresse, m'emmène dans un pays totalement inconnu (sinon, oublié) pour moi, y compris la langue indigène. Cette contrée peuplées d'jeunes (de jeans, comme aurait dit notre Victor) qui, je l'espère, sont conscients de la chance, malgré tout ce qui se dit, de posséder un guide qui a su, tout naturellement, créer autour d'eux cette ambiance de compréhension mutuelle qui auréole tes écrits. Et je ne parle pas des collègues.
Merci pour cet aspect pour moi encore inconnu, mais pressenti, et à présent évident, de ta personne.
Amitiés.   ton Nonono."