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Le blog de Jean-Noël LEBLANC
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23 octobre 2012

"Sherlock Holmes à New York"

Sherloch Holmes gif

Sherlock Holmes à New York !

Yahou ! Génial ! (1)  [= Cf. notes personnelles en bas de page]


Elementary - Bande-Annonce - Saison 1

“Elementary”,
nouvelle adaptation américaine des aventures du héros de Conan Doyle, une version moderne moins inspirée que la britannique “Sherlock”.

Un article paru dans Télérama :

elementary--sherlock-holmesLes fans de Sherlock Holmes doivent frôler l’indigestion (2). L’idée de départ est la même que dans la série britannique Sherlock : transporter le limier excentrique de nos jours et lui faire mener l’enquête dans une grande métropole, Londres pour la version de la BBC, New York sur CBS.

Si la série est très loin d’être aussi virtuose et originale que sa cousine anglaise, elle évite la catastrophe… Son Sherlock Holmes, la trentaine fortement tatouée et mal rasée, semble un mélange du personnage joué par Cumberbatch et de celui, plus bad boy, incarné par Robert Downey Jr au cinéma. Ancien détective à Londres, il sort tout juste de cure de désintoxication quand on le découvre, à travers les yeux de Joan Watson, embauchée par M. Holmes père, ombre mystérieuse, pour surveiller la consommation de drogues de son fils – et qui va rapidement devenir sa partenaire d’enquêtes. Devenu consultant de la police de New York, il brille par ses talents de déduction et son caractère déconcertant.

Génial, quasi fou, presque misanthrope, ce Sherlock est proche de son double de la BBC, mais plus âgé, moins geek, moins poétique. On voit mal ce qui pousserait les fans de Sherlock à suivre ce Holmes-là – sauf la curiosité, au début. La seule originalité de cette version (3), c’est Watson, une femme. L’idée fait sans doute bondir les puristes (4), mais c’est finalement un choix judicieux, qui offre un peu de fraîcheur à la série. « Joan » (et non John) est une ancienne chirurgienne presque aussi mal dans sa peau et solitaire que Holmes, et le couple formé par Miller et Liu semble pouvoir fonctionner. Liu et Miller, justement, s’en sortent plutôt bien.

Au-delà de ces quelques qualités, Elementary reste un « procedural » à peine plus enlevé qu’un Mentalist ou un Lie to Me, ces polars où le héros est un surdoué de la déduction. Au final, on n'a pas de raison d'exécuter ce « sous-Sherlock » américain, mais il est bien loin de la qualité et de l’inspiration de son aînée. Loin, aussi, des textes de Conan Doyle, dont il ne garde presque que le rôle-titre."

Retrouvez l'article intégral ici : www.telerama.fr/elementary-sherlock-holmes  Photo : © CBS Television Studios

 

Notes personnelles :

(1) : Ben non, même pas.

(2) : Ben non, même pas.

(3) : Ben non, même pas. (5)

(4) : Ben non, même pas.

(5) : http://www.sshf.com/critiques.php?id=289  http://www.imdb.com/title/tt0093850/  

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