Bernard Werber a dit...
"Un bon livre, c'est une bonne histoire, c'est oublier l'écrivain, c'est être amoureux de l'héroïne et vibrer avec le héros. Un mauvais roman, c'est se dire en permanence pendant qu'on le lit "c'est bien écrit". Ça veut dire qu'on est extérieur à ce qui se passe"
"Tous les jours, j'écris une nouvelle entre 18 et 19 heures, un texte qui peut potentiellement devenir un roman, un scénario, une nouvelle plus longue, ou rien. Et je m'arrête au bout d'une heure, que ce soit terminé ou non. Ce sont mes gammes, mon petit exercice pour entretenir le mécanisme de l'invention. De même, je fais mes quatre heures d'écriture chaque matin, comme un marathonien qui doit tenir son rythme sur la longueur. Le cerveau est tel un muscle : une fois habitué à créer des histoires, il se met facilement en phase." Bernard Werber (Phosphore, mai 2007, propos recueillis par Didier Roth-Bettoni)